L’étude, publiée en juin dernier, est l’une des plus grosses synthèses sur la question des systèmes agricoles développées à ce jour. Elle recense près de 400 études publiées par des experts internationaux de tous horizons (de la FAO à l’Université d’Oxford en passant par l’UNEP ou encore la Commission Européenne), rassemblées et analysées par une vingtaine d’experts indépendants coordonnés par l’IPES. Son objectif : analyser les problèmes et les failles du système agricole et alimentaire mondial (son empreinte écologique, économique et sociale, la faim dans le monde…) afin de mieux comprendre comment le transformer pour à la fois nourrir la planète et ne pas détruire l’écosystème.
Voici, résumées en quelques mots les conclusions de cette étude de grande ampleur : il faut radicalement transformer le système agricole industriel pour tendre vers des systèmes agro-écologiques diversifiés, constitués de petites structures agricoles pratiquant une agriculture raisonnée qui évitent les intrants chimiques et valorisent les synergies locales et les circuits courts. Ainsi, il serait possible à la fois de mettre fin à la faim dans le monde et de pratiquer une agriculture écologique, résiliante et durable.
Voici, résumées en quelques mots les conclusions de cette étude de grande ampleur : il faut radicalement transformer le système agricole industriel pour tendre vers des systèmes agro-écologiques diversifiés, constitués de petites structures agricoles pratiquant une agriculture raisonnée qui évitent les intrants chimiques et valorisent les synergies locales et les circuits courts. Ainsi, il serait possible à la fois de mettre fin à la faim dans le monde et de pratiquer une agriculture écologique, résiliante et durable.
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